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Mes réflexions - Page 6
- L’agriculture : de nouvelles donnes pour demain
- Remarqué: "poète et imposteurs"
- François PATRIAT, récidiviste !
- « D’abord écouter pour comprendre, avant de proposer »
- A Nicolas SARKOZY: "défendez nos valeurs"
- Liaison Nord: 2006, la première pierre
- Elargissement de l'A 31: réussir son intégration
- Renouvellement urbain : la Région dans les pas de l’Etat
- « COEURS DE VILLAGES » : sept ans de succès!
- Irrigation agricole: vers une meilleure gestion de l'eau

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L’agriculture : de nouvelles donnes pour demain

J’ai souhaité inviter à Saint-Apollinaire Joseph DAUL, Eurodéputé, président de la commission agriculture du Parlement Européen pour nous parler de l’agriculture car il s’est imposé comme un acteur pertinent de la politique agricole de notre pays et de l’Union Européenne.

La société et l’agriculture

Il m'apparait utile que notre société engage une réflexion objective sur le monde agricole ; d’abord que nos concitoyens découvrent les enjeux de l’agriculture de demain pour qu’une réconciliation de notre société avec les agriculteurs s’engage.

Trop souvent et de façon injuste, ils sont accusés de tous les maux : "pollueurs, assistés, grincheux et producteurs d’excédents qui coûtent chers" ! Et pourtant !

La capacité d’adaptation de l’agriculteur

Issu du monde paysan, moi-même, je sais combien les valeurs de travail, d’humilité face aux lois de la nature, de respect du patrimoine culturel sont indissociables de la nature même des gens de la terre.

Les agriculteurs assurent certes un travail de production, mais ils sont aussi les gestionnaires de l’espace rural. A ces titres, ils peuvent prétendre à une juste rémunération. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas ; ceci est d’autant plus insoutenable que les exploitants agricoles ont, de tous temps, su faire face à une nécessaire adaptation qui relève d’une véritable remise en cause de leur métier. Ainsi ils ont assuré l’autosuffisance alimentaire de notre pays après la pénurie de la première moitié du XX° siècle, puis l’exportation des excédents, contribuant favorablement à la balance commerciale de la France.

Ils ont transformé leurs exploitations pour en faire de vraies entreprises avec les mêmes contraintes que les autres secteurs d’activité ; en particulier pour intégrer les évolutions rendues nécessaires par la mise en place de la politique agricole commune. D’un domaine dans lequel l’initiative individuelle était traditionnellement très forte, on passe à une logique de planification, d’organisation, d’administration insupportable pour des professionnels qui travaillent avec de la matière vivante et donc avec des impondérables énormes.

Des questionnements pour l’avenir

Aujourd’hui de nombreux questionnements taraudent le monde agricole à propos de son avenir. Et cependant des pistes nouvelles s’ouvrent à lui pour les temps qui viennent.

D’abord il a bien intégré que son rôle de producteur alimentaire n’occupera plus qu’une partie de sa mission ; et qu’elle s’inscrira dans une exigence de qualité, rassurante pour le consommateur. C’est l’agriculture raisonnée et respectueuse de l’environnement ; c’est la production de denrées garanties pour la sécurité alimentaire. A cet égard, la crise de la vache folle fut gérée de façon exemplaire par les éleveurs qui ont réagi avec rigueur et efficacité pour éradiquer le problème pour les consommateurs.

Ensuite, l’activité se partagera vers des productions innovantes pour satisfaire des besoins nouveaux. Je pense en particulier à l’énergie verte que constituent le diester et l’éthanol qui, petit à petit, tendront à remplacer les carburants traditionnels pétroliers de nos véhicules. Des projets prometteurs sont en bonne voie actuellement. De la même façon l’équipement de chaufferies individuelles ou collectives à base de produits agricoles, se développe, répondant ainsi à des aspirations écologiques en termes de pollution mais aussi à des arguments économiques évidents et confirmés par la crise pétrolière que nous subissons actuellement.

Enfin, l’agriculteur assure aussi la sauvegarde du patrimoine rural constitué par des territoires riches de leur diversité. Patrimoine naturel bien-sûr mais aussi patrimoine architectural de nos villages.

Une volonté politique conjuguée à des atouts

Pour ma part, j’ai le sentiment que l’avenir de la France rurale passe par une politique économique ambitieuse, génératrice de revenus pour l’agriculture. Pour y parvenir, une nouvelle approche doit être engagée pour élargir la réflexion à tous les intervenants depuis la production agricole jusqu’au consommateur, en passant par les transformateurs, les distributeurs et tous les experts techniques et scientifiques qui oeuvrent dans le processus des filières agro-alimentaires ou industrielles.

Alors que nous assistons à un affaiblissement démographique agricole inexorable, il faut en revanche vanter les forces de la population agricole dont la capacité d’adaptation voire de mutation est un atout formidable dans ce contexte de mondialisation qui ouvre de nouveaux marchés.

Je suis persuadé que l’avenir sourira à ceux qui oseront innover, qui produiront la qualité, pour autant que les pouvoirs publics soient administrativement moins contraignants ; qu’ils leur restituent un droit à l’initiative et qu’ils initient une organisation des marchés qui ménage autant le producteur que le consommateur.

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Remarqué: "poète et imposteurs"

Marc Rozanski, romancier de la région, puisqu'il habite Orgeux, nous transporte à la fin du XVII° siècle dans les intrigues dijonnaises.

Le poète local Bernard de la Monnoye est mandaté pour élucider les raisons du décès d'un autre littéraire de l'époque: Santeuil.

A cette occasion, l'homme de lettres découvre les turpitudes qui embarrassent autant la bourgeoisie que la haute noblesse locale.


Un roman des Editions de l'Armançon à lire absolument.

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François PATRIAT, récidiviste !

François Patriat a reçu fin août, la présidente du Conseil régional de Poitou Charente lors d’un déplacement en Bourgogne. Jusque là, rien à dire. Compte-tenu du statut de candidate à l’investiture aux élections présidentielles de celle-ci, pour se donner bonne conscience, Monsieur Patriat, qui se targue toujours, lui, « de ne pas faire de politique au Conseil régional », a aussitôt indiqué qu’il avait organisé une réunion de travail à la région avec les élus de la Bourgogne et la Présidente de Poitiers.

Alors pourquoi ne pas avoir invité l’ensemble des conseillers régionaux à cette réunion de travail ? Peut-être pour laisser quelques places aux élus bourguignons de gauche ne siégeant pas à la région, rejoints par une poignée de militants socialistes de Côte d’Or, transformant la pseudo-réunion de travail en un véritable meeting socialiste ! Monsieur Patriat ne peut plus nous faire croire qu’il ignorait que le soutien à un parti politique par une collectivité territoriale est interdit ! C’est en effet une récidive puisqu’il avait déjà subventionné les journées parlementaires du Parti socialiste à Nevers en 2004 ! A l’époque, nous avions déjà relevé l’illégalité de ces dépenses financées par les impôts des Bourguignons ! Est-ce là l’une des raisons de l’augmentation des frais de communication de l’institution régionale depuis l’arrivée de la gauche en 2004 ? Eu égard aux candidatures annoncées au Parti Socialiste pour les prochaines présidentielles, 2006 devrait être aussi un bon cru pour les dépenses de la région dans ce domaine. Dommage pour les contribuables bourguignons ! Dans le cadre de mes fonctions électives, j’ai toujours pris soin de dissocier nettement la vie de la collectivité que je gère et mon engagement politique. Les contribuables n’ont pas à supporter les coûts liés aux implications politiques de leurs élus. La loi sur le financement des partis politiques a prévu leur prise en charge. Cette ligne de conduite, je la maintiendrai quels que soient mes engagements futurs. Je rêve que les donneurs de leçons socialistes en fassent de même !

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« D’abord écouter pour comprendre, avant de proposer »


La première qualité d’un élu doit être l’écoute. A partir du moment où l’on admet que ceux qui exercent une profession ou représentent un corps social, sont les mieux placés pour exprimer leurs difficultés et leurs attentes, il est utile de les rencontrer pour se forger une opinion réaliste et faire des propositions adaptées.

C’est la raison pour laquelle j’organise régulièrement des rencontres informelles autour de petits-déjeuners thématiques qui permettent dans un moment de convivialité de se connaître, d’échanger et de construire ensemble des solutions.

Ainsi, depuis plusieurs semaines, j’ai réuni une dizaine de petits groupes qui ont échangé sur « Les jeunes, acteurs de leur avenir », « L’entreprise », « L’artisanat, première entreprise de France », « Quel avenir pour les associations ? », « Notre engagement dans la vie de la cité » etc… D’autres sont en préparation pour la rentrée, par exemple « Santé », « Professions libérales », …

Si vous souhaitez organiser ce type de rencontres ou y participer, n’hésitez pas à me contacter.

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A Nicolas SARKOZY: "défendez nos valeurs"

J’ai récemment écrit à Monsieur Nicolas SARKOZY, Président de l’U.M.P., pour réclamer que les valeurs autour desquelles je me suis engagé depuis près de vingt cinq ans au travers de mes mandats électifs soient défendues au plus haut niveau; j'ai en effet le sentiment qu'elles peuvent être utiles à la France.

Lors des élections législatives de 2002, j'ai été candidat député suppléant, auprès de Jean-Marc NUDANT, député de la deuxième circonscription de la Côte d’Or pour défendre une vision de la France reposant sur la valorisation du travail, sur la promotion de l’initiative individuelle ou collective, sur le renforcement du dialogue social ainsi que sur l’honnêteté dans l’engagement public et tant d’autres valeurs fondamentales. Après cinq années de socialisme qui avaient malmené notre pays, il m’apparaissait en effet indispensable de retrouver le chemin de la raison et de l’efficacité au bénéfice de tous les Français, notamment les plus fragilisés.

Maire d’une commune de l’agglomération dijonnaise dont je suis vice-président, conseiller régional de Bourgogne et député suppléant de la deuxième circonscription de la Côte d’Or, je défends dans mon action quotidienne l’ensemble de ces références, chères à la droite et au centre, et partagées par de nombreux concitoyens.

Dans les derniers mois, se sont succédés des épisodes douloureux pour notre pays, qui chaque jour, nous éloignent un peu plus de notre idéal politique.

L’épisode du « C.P.E. » montre que nous n’avons pas su construire la réforme attendue de notre code du travail en partenariat avec les acteurs sociaux.

« L’affaire CLEARSTREAM » révèle que l’appareil d’Etat pouvait être accaparé par quelques boutiques marginales et partisanes, jetant ainsi l’opprobre sur l’ensemble de la classe politique.

Plus récemment, l’amnistie d’un député U.M.P. bafoue les règles élémentaires de justice. Même si cette procédure a naguère bénéficié à d’autres personnalités de gauche, elle ne peut que nous choquer, lorsque dans le même temps, nous réclamons plus de fermeté pour les incivilités quotidiennes supportées par nos concitoyens.

Il est temps de passer, comme l’appelle très justement Nicolas SARKOZY, à « la France d’après ». En ce qui me concerne, comme élu, fort du temps passé au service de mes concitoyens et fier des convictions que je défends, je refuse de cautionner les affaires qui ont marqué l'actualité récente.

Pour les mois à venir, je m’engagerai dans les fonctions qui sont les miennes, résolument pour que la manière de faire et d’être en politique change véritablement. La France a besoin de sortir de ce climat qui l’asphyxie depuis vingt-cinq ans et qui conduit au rejet massif par une majorité de Français , du personnel politique quelle que soit son appartenance ou sa sensibilité.

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Liaison Nord: 2006, la première pierre

Rarement la préparation d'un nouvel ouvrage n'aura créé autant de polémiques et de rebondissements. Voilà des décennies qu'on en parle; cette fois ci c'est bon, Dominique de Villepin a signé le décret déclarant d'utilité publique la liaison Nord en janvier 2006; le chantier va pouvoir débuter d'ici la fin 2006.

C'est assurément une bonne nouvelle puisque cette voie qui s'étire de la Toison d'Or à Dijon, jusqu'à la vallée de l'Ouche à Plombières-les-Dijon, réduira les encombrements de circulation sur les voies urbaines actuelles et favorisera l'accès dans le Grand Dijon.

Il faut saluer l'engagement de l'Etat sur les mesures d'insertion dans l'environnement de l'ensemble de l'ouvrage, respectant ainsi les recommandations issues de la concertation avec les populations.

Le chantier qui débutera par la construction des ouvrages d'art à Daix et à Fontaine-les-Dijon devrait s'achever en 2012.

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Elargissement de l'A 31: réussir son intégration

Ayant été sollicité par plusieurs élus des communes concernées par l'élargissement de l'autoroute entre Beaune et Langres, je suis intervenu auprès de Monsieur le Préfet de Région et de Département pour appuyer la demande des maires.

Sans contester en effet le bien fondé et l'intérêt que représente l'aménagement de cette portion de l'autoroute en une deux fois trois voies, je considère qu'il est important que l'insertion de l'ouvrage dans le site soit mieux prise en compte que lors de la création initiale de l'A 31 d'une part et que des dispositions soient prises pour limiter au mieux les nuisances sonores pour les populations voisines d'autre part.

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Renouvellement urbain : la Région dans les pas de l’Etat

L’année 2005 a été marquée par l’engagement de l’Etat dans un programme sans précédent en matière de politique de la ville, notamment en faveur de l’habitat et des rénovations urbaines. Des moyens financiers considérables accompagnent cette politique, lui donnant une dynamique à la hauteur des espérances de ceux qui vivent dans ces quartiers en attente de requalification. Un seul exemple : 49,13 M€ pour le Grand Dijon !

Il n’y a rien d’exceptionnel à ce que le Conseil régional de Bourgogne s’implique aujourd’hui dans cette démarche. Il ne fait que poursuivre l’action initiée par Jean-Pierre Soisson qui incita, dès l’année 2000, les partenaires des 4 départements bourguignons à engager des opérations lourdes d’amélioration des conditions de vie de nos concitoyens. Citons les conventions signées avec la COMADI et avec Nevers. L’objectif de cette politique s’inscrivait déjà dans un souci d’aménagement équilibré du territoire et dans une dimension sociétale.

De grands chantiers ont ainsi pu être conduits grâce aux financements croisés de l’Europe, de l’Etat, de la Région, des Départements, des Agglomérations, des Villes... Je pense en particulier au quartier des Grésilles à Dijon, aux opérations des villes Le Creusot - Montceau-les-Mines, Torcy, Chenôve, Auxerre, Sens.


Grâce à ce nouvel élan impulsé par l’Etat, ces programmes se voient confortés. Il est naturel que la Région Bourgogne place ses pas dans ceux de l’Etat, pour soutenir ce dynamisme. Nous veillerons à ce que ces concours financiers soient équitablement octroyés sur tout le territoire bourguignon.

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« COEURS DE VILLAGES » : sept ans de succès!

Que serait la France sans ses villages ? Et que serait la Bourgogne sans ses bourgs et hameaux qui la caractérisent tant ? Malheureusement, notre belle région n’échappe pas aux risques bien réels de la désertification de ses campagnes.

Dès 1999, l’équipe de Jean-Pierre Soisson, a pris conscience de la nécessité qu’il y avait à maintenir la population dans les villages, particulièrement les jeunes et à y attirer de nouveaux habitants. C’est pour relever ce défi que nous avons alors initié le dispositif « Cœurs de villages ».

Le principe est simple : toute commune de moins de 3.500 habitants (soit 95 % des villages des 4 départements de Bourgogne) peut bénéficier de subventions régionales si elle décide de favoriser l’installation de nouveaux locataires en réhabilitant des bâtiments anciens vacants ou inconfortables.

En complément de l’aide au logement, la Région favorise la mise en valeur globale du patrimoine architectural, de l’environnement et du cadre de vie des communes en soutenant financièrement l’aménagement d’espaces publics et de locaux à usage collectif ou à vocation commerciale ou artisanale, afin de revitaliser leur « centre-bourg » (mairie, halle, rue piétonne, petits commerces, PME...).

Seule contrainte : le strict respect des traditions architecturales et paysagères qui font la diversité et la qualité des territoires bourguignons.

Sept ans plus tard, il est manifeste que cette politique a porté ses fruits. Aujourd’hui, ce sont 704 communes qui se sont engagées pour la construction de 2.560 logements en milieu rural. Pourtant la gauche voulait abandonner ce dispositif ; heureusement la réaction des maires a fait reculer le nouvel exécutif régional !

Nous savons que c’est une opération que le Président du Conseil Régional trouve trop onéreuse et dont il cherche à se dégager. Il ne cache pas sa préférence pour les investissements urbains, au détriment de ceux destinés aux territoires ruraux.

Aussi, avec mes collègues U.M.P., nous veillerons à la pérennité du programme « Cœurs de village », car nous nous réjouissons de son succès, même s’il pousse le Conseil régional à toujours faire plus d’efforts financiers dans cette direction (environ 10 M€ pour l’année 2005).

Pour ma part, je me félicite de cette réussite ; en parcourant nos villages toujours plus attractifs, je mesure l’action que nous avons menée au service du monde rural pour le protéger dans son identité, au travers de son patrimoine, comme de sa qualité de vie.

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Irrigation agricole: vers une meilleure gestion de l'eau

Je suis intervenu lors de la commission permanente du Conseil Régional du 10 février 2006 et à plusieurs reprises auprès du Président de la Région pour appeler l'attention des élus régionaux sur les problèmes de gestion de l'eau en matière agricole.

Les sécheresses et canicules estivales régulières révèlent l'importance de ce dossier à la fois sur le plan économique avec l'indispensable soutien aux filières de produits alimentaires, le maintien de productions de qualité et également en matière de développement durable, sans oublier le développement des territoires agricoles.

Je plaide pour que les initiatives des agriculteurs qui montent des projets collectifs d'aménagement de bassins de rétention d'eau très coûteux puissent être soutenues par le Conseil régional de Bourgogne; elles le sont déjà par le Conseil général de la Côte d'Or dans le cadre du schéma directeur d'irrigation élaboré par la chambre d'agriculture de Côte d'Or et le syndicat des irrigants de Côte d'Or.

Les bassins de rétention ont pour but de recueillir les eaux de ruissellement hivernales qui sont ensuite pompées en été, de façon rationnelle et réglementaire pour couvrir les besoins des cultures sans altérer le niveau des nappes phréatiques.

Le Président du Conseil régional s'est officiellement engagé à prendre une position au titre de sa nouvelle politique agricole régionale. Sa position est très attendue. Je regrette qu'elle tarde tant à venir, d'autant que ce dossier rentre complètement dans les champs de compétence de la région.

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