Lors de la session du Conseil régional de juin, au nom des élus du groupe UMP, je me suis ému de voir que le Président du Conseil Régional envisageait de vendre la propriété des locaux voisins de l’abbaye de Pontigny dans l’Yonne.

Faut-il rappeler que ceux-ci avaient été acquis par la Région en 2003 à l’initiative de Jean-Pierre SOISSON qui envisageait d’y installer un centre de recherche et d’interprétation de l’art cistercien. Ainsi ce haut lieu de l’histoire de la Bourgogne serait devenu un centre d’étude unique.

Or, manifestement sans motivation financière, l’exécutif régional préfère privilégier un concept hôtelier de grand luxe.

En séance publique, j'ai demandé au Président de renoncer à cette intention. Le Président m'a indiqué qu’il n’y avait pas de dossier abouti mais qu’il s’agissait d’une réflexion qui, de toute façon serait présentée et discutée en séance plénière si elle devait se concrétiser. J'ai pris acte de cette précision du Président, tout en rappelant que le groupe UMP se montrera attentif à ce dossier dans les temps qui viennent.

Alors que la gauche bourguignonne préfère le luxe, la droite et le centre privilégient la formation et la recherche !

Affaire à suivre.

Je suis intervenu auprès du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer pour lui exprimer les préoccupations du groupement des centres indépendants de contrôle de véhicules lourds qui évoluent dans un contexte de concurrence sévère et sont soumis à des contraintes draconiennes imposées par les DRIRE.

La dévolution au secteur privé des centres de contrôle technique poids lourds, auparavant dirigés par les directions régionales de l’industrie, de la recherche et de l’environnement, s’est déroulée courant 2004. C'est alors que des réseaux de contrôle technique, mais aussi des personnes morales représentant des entreprises individuelles ont ainsi été attributaires des différents centres.

Lors de la session du conseil régional en date du 16 Juin 2006, la majorité socialiste révèle que les élus du groupe UMP avaient raison de ne pas accepter la hausse d’impôts que la gauche a imposé aux Bourguignons dès son élection en 2004 !
La trésorerie est en effet pléthorique, malgré l’augmentation importante des frais de fonctionnement (+ 74 emplois depuis deux ans; hausse des frais de communication sans commune mesure !).

En tant que Vice-président de la FEDOSAD, je me félicite de la place que tient cette association dans le domaine de l’accueil, de l’aide et des soins aux personnes âgées ou handicapées dans l’agglomération dijonnaise. Un savoir faire issu d’une professionnalisation exemplaire des personnels et des responsables de cette structure présidée par Michel THIRY, ancien adjoint au maire de Dijon délégué aux affaires sociales.
570 salariés travaillent à la FEDOSAD.

La municipalité de Saint-Apollinaire, depuis quelque dix ans, s’attache à promouvoir l’art. De grands noms de la peinture ont ainsi exposé à la « galerie » de la Maison des Associations: Marcel Poulet, Raymond et Luc Rochette, Marcel Weinling et tant d’autres.

Dans le même temps les élus de Saint-Apollinaire promeuvent des artistes locaux, citons notamment Arlette et Jean Bézard, Françoise Berthaud, Françoise Brissaire, Yolande Rosez, Michel Barba … De plus, en tant que Maire de Saint-Apollinaire, je veille particulièrement à ce que de très jeunes artistes puissent accéder à l’expression de leur talent. C’est ainsi que Antoine Cordet, 22 ans, dijonnais originaire d’Auxerre, vient de décorer de façon originale, lumineuse et dynamique la façade du parvis du complexe sportif de Louzole à Saint-Apollinaire. Au pied du mur, Antoine vient d’imprimer pour longtemps son style et son talent créatif pour le bonheur des sportifs et … de tous.

Le TGV Rhin-Rhône est l’un des plus grands projets de notre Région. L’enjeu est colossal en termes de perspectives de développement et de retombées économiques. A l’échelle européenne, ce sera un outil essentiel d’intégration et d’aménagement du territoire.

Ce projet, initié par les équipes régionales antérieures, s’inscrit dans l’exacte continuité de ce qui avait été engagé par le passé.

Le 28 Février dernier, Dominique PERBEN, Ministre des Transports et de l’Equipement, et plus de 20 collectivités publiques ont ratifié le protocole d’intentions relatif à la réalisation et au financement de la 1ère tranche de la branche Est.

Pour obtenir la ratification de ce protocole, le Ministre des Transports a dû éviter un « clash » entre François Rebsamen, Président du Grand Dijon, et Louis de Broissia, Président du Conseil général de la Côte d’Or, qui s’opposaient radicalement sur la répartition du financement entre leurs deux collectivités. Aussi, aucune précision n’a été alors apportée sur la part de chacun. Il a seulement été mentionné que la Bourgogne interviendrait à hauteur de 131 M€, dont 50 % à charge de la Région Bourgogne, la Communauté d’Agglomération et le Conseil général devant se répartir les autres 50 %.

Le TGV Rhin-Rhône : OUI mais pas à n’importe quel prix !

Fort de mes convictions mais surtout conscient que rien n’était encore réglé entre les différents protagonistes j’ai tenu à intervenir, au nom du Groupe UMP, lors de la séance plénière du Conseil régional qui s’est réunie le 24 Mars dernier et qui devait notamment délibérer pour approuver les termes du protocole initial et autoriser François Patriat à négocier, sur ces bases, la convention financière définitive qui devrait être signée très prochainement.

J’ai interpelé le Président de la Région afin qu’il défende efficacement les intérêts de la Région Bourgogne sur 2 points qui me semblaient essentiels :
- obtenir l’assurance de l’engagement de la Région Rhône-Alpes et du Grand Lyon qui jusque là rechignaient à participer au montage financier du projet (ce qui représentait une incertitude de 66 M€) ;
- et nous éclairer sur la façon dont il répondra au Président du Grand Dijon qui souhaitait voir la participation de la Région Bourgogne passer de 50 % à 52 % pour que celle de la COMADI puisse baisser d'autant.

Souhaitons que Monsieur Patriat sache se faire entendre au moment des négociations finales et que nous aboutissions à une clé de répartition équitable entre tous. Les Bourguignons ont su faire montre d’une belle unanimité pour défendre le TGV Rhin-Rhône. Il serait regrettable que les élus soient incapables d’en faire autant !

Je vous tiendrai régulièrement informé du suivi de ce dossier, mais sachez que le chantier est déjà une réalité : la 1ère tranche de travaux entre Villers-les-Pots (Côte d’Or) et Petite Croix (Territoire de Belfort) vient de démarrer. La mise en service est prévue pour 2011.

(01/06/2006)

Projet Renaissance: L’aéroport de Longvic est intégré complètement dans l’agglomération. Nous sommes plusieurs à représenter ici des populations qui subissent déjà les nuisances de l’activité aéroportée de Longvic.

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